Les chiffres du commerce extérieur agro-alimentaire sont trompeurs : certes, ils dégagent le deuxième solde positif de nos échanges (environ 12 Md €) mais ne sont le fait pour l’essentiel que des vins et spiritueux, des céréales et des produits laitiers. De plus, 70 % des échanges sont intracommunautaires.
Au moment où la demande alimentaire dans les pays émergents et en développement explose, nos IAA doivent elles se contenter d’exporter nos produits nationaux, nos repas, nos apéritifs… ? Pouvons-nous, et à quelles conditions, engager des mises en production pour ces seuls marchés à partir de nos approvisionnements et de nos savoir-faire ? Autant de situations à examiner, de défis à relever et de procédures à étudier.
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